Déambuler dans un parc constitue sans doute l’une des activités de plein air les plus agréables à effectuer. Le Québec présente aux promeneurs plusieurs types de parc. Parmi eux, le parc floral comprend différents végétaux, principalement des fleurs. Le parc public, espace de verdure aménagé dans une municipalité, sert à l’agrément et au délassement de la population. Quant à lui, le parc de conservation vise prioritairement la protection de territoires représentatifs des régions naturelles québécoises, ainsi que des sites considérés exceptionnels en raison de leur topographie particulière, de leur grande beauté et de la présence d’une faune ou d’une flore au caractère unique. Il se veut aussi accessible à la population pour des fins de récréation et d’éducation. Enfin, le parc national fédéral, administré par les autorités canadiennes, peut couvrir une assez vaste étendue de terre ou d’eau et contenir une richesse naturelle (faunique, florale, topographique), un panorama grandiose, une particularité telle que l’intérêt national, voire international, exige sa sauvegarde et sa mise en valeur. Issu au XIIe siècle du latin parricus (enclos), le mot parc désigne bien d’autres réalités, dont quelques-unes ne sont pas toujours très bucoliques (parc de véhicules, parc de stationnement, parc pour bébés, autres). Les Québécois l’ont aussi utilisé pour dénommer des centaines d’entités, essentiellement des voies de communication. La présence d’un parc public à proximité explique souvent le choix de telles appellations. Cette voie de communication est située dans le parc industriel.